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           Je pense que la vie est un cadeau de l'univers et que malgré tous les malheurs, toutes les déceptions, tout ce que l'on peut ressentir de mauvais, il faut profiter à fond de la vie, car on en a qu'une.


            Vis ta vie à fond, mais fait en sorte de poursuivre tes rêves car c'est ce que tu as de plus précieux. Vis ta vie à fond, mais profite de chaque instant car ce sont peut-être les derniers.


            N'ai pas peur de faire ce que tu veux, n'ai pas peur de dire ce que tu veux, n'ai pas peur d'affirmer tes idées, n'ai pas peur de tes sentiments, n'ai pas peur de lui dire ''je t'aime'', et surtout, n'ai pas peur de regretter ce que tu fais, car la seule chose que tu pourras regretter c'est de n'avoir rien fait, rien essayer.


            Vis et meurs, parles et cris, marche et cours, aimes et hais, ris et pleurs, fais comme tu veux mais profite et ne regrette rien.


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    Elle respira profondément et se calma avant de répondre :

     

              « Ton accident … est bien, c’est à cause de moi, c’est moi qui t’es pousser à faire du ski nautique, tu ne voulais pas, mais j’ai insisté, je voulais te faire partager ma passion …

     

              - Je … je ne me souviens pas … mais tu ne dois pas t’en vouloir pour ça, je suis vivant, c’est le principal non ?

     

              - Oui c’est vrai, répondit-elle en souriant.

     

              - Que s’est-il passer ? Comment se fait-il que tu n’étais pas là pour les examens, les médecins auraient vu que je ne te reconnaissais pas non ?

     

    - J’aurai voulu rester, mais je n’ai pas pu, j’ai été obligée de partir avec mes parents, ils ne voulaient plus que je reste à tes côtés, je mettais ma santé en danger disaient-ils. C’est ta mère qui m’a appelé pour m’annoncer la bonne nouvelle.

     

              - Je ne comprends pas, si on est meilleurs amis, si on se connaît depuis toujours, si tu as toujours été là pour moi, pour me soutenir, si on était inséparable, comment ça se fait que je ne souvienne pas de toi au même titre que ma famille ? C’est injuste je trouve !

     

              - Je n’en sais rien Rémi, j’en sais rien du tout, peut être que on ne devait pas devenir amis, c’est peut être comme ça...

     

              - Non, je refuse de perdre ma meilleure amie, même si je ne me souviens plus de toi, je veux apprendre à te connaître et revivre ce qu’on a déjà vécu et je veux que tu m’aide ! On ne va pas en cours aujourd’hui, je veux rester avec toi.

     

              - J’imagine que je suis obligée d’accepter c’est ça ?

     

              - Parfaitement !

     

              - Malgré ça, je vois que tu es toujours le même.

     

              - Si tu le dis ... Aller sèche moi vite ces larmes et dès qu’on arrive on part en ville tous les deux !

     

              - Merci ... »

     Elle l’enlaça, c’était un peu bizarre pour lui, il ne la connaissait presque pas, mais elle lui inspirait tellement confiance, qu’il se détendit presque aussitôt. Le bus s’arrêta devant le lycée et ils descendirent puis partirent, dans la direction opposée, main dans la main.

     

    Voici la fin de cette belle histoire, j'espère que vous avez aimé !!


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              Cette personne, au visage familier, aux yeux pétillants, ne paraissait, après coup, pas aussi inconnue qu’il le pensait, elle lui inspirait confiance et sérénité. Sa meilleure amie … C’est alors qu’il se rappela : la liberté, l’eau autour de lui, l’eau sur le visage, le ski, dans l’eau, la chute, le noir, beaucoup de temps, l’hôpital, les murs blancs, le noir encore, le flou, les voix, les parents, les médecins, les tests ... Ils lui avaient dit qu’il n’avait pas eu de séquelles, qu’il aurait juste mal à la tête au début, qu’il avait réussi tous les examens et qu’il n’avait rien oublier - contrairement à ce qu’ils pensaient au début – rien, sauf sa meilleure amie …

     

              Elle le dévisagea un instant et détourna les yeux, les larmes commençaient à lui piquer les yeux.

     

              « Julie, s’il te plaît pardonne moi, je ... je pense que tu sais que j’ai eu un accident pendant les vacances, je suis resté plusieurs jours dans le coma ...

     

              - Je sais, j’étais auprès de toi, lors de l’accident, à l’hôpital, pendant ton coma, elle marqua une pause puis reprit les larmes aux yeux : et aussi lorsque tu t’es réveillé, j’ai veillé sur toi, jour et nuit, je ne voulais plus rentrer chez moi, je ne dormais plus, je ne mangeais presque rien,  je ne voulais plus aller en cours, j’avais peur … tu comprends Rémi ? Peur que tu ne te réveille plus jamais … à cause de moi »

     

    Cette fois-ci elle pleurait vraiment, son maquillage coulais, il la prit dans ces bras, le serra un moment puis répondit :

     

              « A cause de toi ?

     

              - Oui … tu ne te souviens pas de ça non plus j’imagine, dit-elle doucement entre deux sanglots.

     

              - De quoi Julie ? Qu’est-ce que j’ai oublié de plus ? »

     

    Seconde partie pour vous ! Elle est courte mais la dernière sera plus longue : demain soir.

     


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  • Un jour un garçon attendait à son arrêt de bus, il était sept heures du matin, le soleil était à peine levé et malgré l’air printanier, il faisait encore un froid hivernal. Soudain une jeune fille, aux longs cheveux or et aux yeux verts, qu’il ne connaissait pas et qu’il n’avait jamais vu, est arrivée, son sac sur l’épaule et est venue lui faire la bise. Pourtant étonné, il ne dit rien, il ne voulait pas faire le con devant tout le monde et surtout ne pas se ridiculiser face à cette belle demoiselle. Le bus arriva et elle monta, naturellement il se mit à côté d’elle : comme de vieux amis qui se retrouvent et qui ont des choses à se dire. Elle ne dit rien, alors au bout d’un moment il prit la parole et lui demanda pourquoi il lui avait fait la bise alors qu’ils ne se connaissaient pas, elle ne répondit pas tout de suite. Silence. Soudait elle lui répondit « Bien évidement que l’on se connait, qu’est-ce que tu racontes là ?

     

              - Désolé, mais je ne sais même pas qui tu es, on ne se connait je ne sais même pas ton prénom !

     

              - Ne joue pas à ça avec moi Rémi, tu me connais très bien, trop bien d’ailleurs …

     

              - Mais je te jure que je ne te connais pas !!

     

              - Sérieusement je ne te suis pas là !

     

              - Moi non plus il faut dire, je t’assure que je ...

     

              - T’es sérieux ??

     

              - Oui, oui je suis très sérieux !

     

              - Mais c’est moi, Julie, t’a meilleure amie, depuis l’enfance !

     

              - J’ai une meilleure amie moi ?... »

     

    Dites moi si vous voulez que je vous mette la suite, je me ferais un plaisir à la publier ! ;)

     


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  • Des histoires, des histoires, encore et toujours des histoires : on en raconte des dizaines, des tonnes même, mais toujours des histoires, toujours les mêmes. Ils se regardent, tombent amoureux, sortent ensemble, se marient et vivent heureux toute leur vie : comme dans les contes. Et puis si on veut on peut rajouter quelques péripéties pour accrocher le lecteur : et voilà on a un bestseller en moins de deux minutes !

     

    Non, non et non !! Contrairement à ce que certains pensent un livre ne s'écrit pas en deux heures, et encore moins un bestseller. Il faut avoir une idée qu'il faut développer un maximum pour commencer : le reste vient tout seul, l'histoire défile en même temps que vous l'écrivez. Il faut accrocher le lecteur dès le premier chapitre, et même avec le titre : mais en laissant une part de suspense tout de même. Il faut qu'il y a un minimum d'action : si non le lecteur s'ennuie et ne va pas finir de lire l’histoire … Et puis à la fin on laisse un peu de suspense, our laisser les lecteurs cogiter sur ce qu'il pourrait se passer ensuite et se languir du volume deux … Mais surtout, le plus important c'est de l'écrire avec amour, passion et bonheur !!

     

    Des histoires, des histoires, oui mais c'est ce qui fait la beauté des livres donc réfléchissez au sens de tout ça quand vous lirez un livre.

     

    On ne peut pas prédire que l’on va devenir écrivain, écrivain est un métier de cœur.


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